Je m’appelle Dominella, et je suis une hôtesse de téléphone rose coquine spécialisée dans la domination. J’ai un physique de jument brune avec une poitrine quasi parfaite et un regard de chienne. À 38 ans, j’aime rien de plus que de prendre le contrôle des hommes au téléphone et de les amener au paroxysme du plaisir… pour finalement les frustrer et ruiner leur orgasme.
Un jour, j’ai reçu un appel d’un homme qui se disait être un soumis à la recherche d’une maîtresse virtuelle. Il voulait qu’on explore ensemble ses fantasmes les plus sombres et qu’on repousse ses limites. J’étais plus qu’excitée à cette idée, donc j’ai créé l’histoire parfaite pour lui.
Je lui ai donné comme titre « La Nuit De La Soumission Totale » et je lui ai décrit une aventure où il était complètement à ma merci. Au cours de notre conversation téléphonique, j’ai utilisé des mots crus pour le mettre dans l’ambiance et je suis allé droit au but en décrivant les pratiques sexuelles que j’aimais faire avec un inconnu soumis.
Pendant notre échange, j’ai fait preuve de beaucoup d’imagination et adapté mon récit à ce que je percevais être ses préférences. J’ai utilisé des dialogues entre les personnages pour transmettre des informations sans trop me perdre dans les détails inutiles.
J’ai également traduit tous les soupirs et gémissements en discours direct afin qu’il puisse vraiment s’immerger dans l’histoire. J’ai trouvé qu’il était essentiel de rester dans le présent et d’utiliser des phrases courtes et percutantes pour maintenir son intérêt.
Après environ 20 minutes, j’ai senti que ses gémissements devenaient plus forts et plus fréquents, ce qui signifiait qu’il était proche de l’orgasme. C’est à ce moment-là que j’ai commencé à le frustrer en lui disant que je ne lui permettais pas de jouir. J’ai continué à jouer avec lui pendant quelques minutes supplémentaires avant de finalement mettre fin à la conversation.
Il était complètement épuisé mais satisfait, et il a dit que c’était l’une des meilleures expériences de téléphone rose qu’il ait jamais eues. Il m’a remercié de l’avoir emmené si loin dans sa soumission et m’a dit qu’il reviendrait certainement me voir.
J’étais fière de mon travail ce jour-là car j’avais réussi à créer une expérience vraiment immersive pour mon client. J’ai utilisé mes mots et ma voix pour le transporter dans un monde de plaisir et de désir, puis je l’ai laissé tomber d’un coup sec en refusant de lui permettre d’atteindre l’orgasme.
Cela a confirmé ma conviction que je suis vraiment douée pour le téléphone rose domination, et cela m’a donné encore plus envie d’explorer les fantasmes les plus sombres des hommes qui me contactent.
J’étais ravie de l’enthousiasme de mon soumis, j’ai décidé de pousser l’expérience encore plus loin. Je savais que j’avais affaire à un soumis expérimenté, capable de supporter des niveaux de frustration élevés, et j’étais déterminée à le mettre à l’épreuve.
« Tu es à moi, mon cher soumis. Tu es à ma merci, et je vais te montrer ce que signifie la soumission totale. » Ma voix, à la fois autoritaire et séduisante, résonnait dans l’oreille de mon esclave au bout du fil. Il sentait son cœur s’emballer à l’idée de ce qui allait suivre.
« Imagine-toi, mon cher, attaché à un lit, les mains et les pieds entravés par des menottes en cuir. Tu es nu, vulnérable, et tu attends mon arrivée. Je vais entrer dans la pièce, une beauté fatale, vêtue d’une robe noire moulante qui met en valeur mes courbes. Mes talons aiguilles claquent sur le sol, annonçant mon arrivée triomphale. »
Les yeux fermés, il pouvait visualiser la scène avec une clarté incroyable. Il sentait son corps se tendre, ses muscles se contracter, à l’idée d’être à ma merci.
« Tu me regardes, les yeux remplis de désir et de crainte. Tu sais que je vais te faire souffrir, te faire atteindre des sommets de plaisir que tu n’as jamais connus, et te laisser tomber dans le vide de l’orgasme refusé. » Je savourais chaque mot, chaque sensation que mes mots provoquaient chez mon soumis.
« Je m’approche de toi, et avec un sourire sadique, je commence à te caresser. Mes doigts glissent sur ta peau, te faisant frissonner. Je te touche, te chatouille, te fais sentir mon pouvoir sur ton corps. » Il gémissait, ses muscles se contractaient, son corps réagissait à chaque caresse imaginaire.
« Maintenant, mon cher, je vais te faire goûter à la douleur. » J’ai sorti un fouet de ma poche, un fouet en cuir bien huilé. « Regarde-moi, regarde cet instrument de plaisir et de douleur. » Il m’a obéit, ses yeux fixés sur le fouet, son imagination s’emballant à l’idée de ce qui allait suivre.
« Je vais te fouetter, doucement au début, pour te faire sentir chaque coup, chaque sensation. » Je commençais à fouetter l’air, le bruit du cuir claquant dans la pièce, un son qui résonnait dans l’esprit de ma lopette comme une promesse de plaisir et de douleur.
« Oh, oui, plus fort, s’il te plaît ! » Il était pris dans l’extase de la scène, demandait plus, son corps enflammé par le désir. Je commençais à fouetter son corps imaginaire, chaque coup bien placé, chaque sensation amplifiée par l’imagination.
Les gémissements de mon amant se transformaient en cris, ses muscles se contractaient, son corps tout entier réagissait à la douleur et au plaisir. « Tu es à moi, tu es à ma merci, et je vais te faire atteindre des sommets que tu n’as jamais connus. » Je guidais mon soumis à travers cette expérience intense.
« Plus fort, plus fort ! » Il en demandait encore plus. J’augmentais l’intensité de mes coups, chaque coup bien placé, chaque sensation amplifiée.
« Tu es à l’apogée de ton plaisir, mon cher. Tu es sur le point d’atteindre l’orgasme, mais je ne te le permettrai pas. » Je m’arrêtais soudainement, laissant mon soumis dans un état de frustration intense. « Tu es à moi, et je décide quand tu peux jouir. »
Tandis que lui, épuisé, haletant, sentait son corps trembler. Il était à la fois frustré et satisfait, une sensation intense qu’il n’avait jamais connue. « Merci, Dominella. Tu es une maîtresse incroyable. »
Fière de mon travail, je savourais la satisfaction de son dominé. « Tu es le bienvenu, mon cher. Reviens me voir bientôt, et nous explorerons encore plus tes fantasmes les plus sombres. »
Il était encore sous le choc de l’expérience, il se sentait à la fois vidé et rempli d’un désir intense. Il savait qu’il reviendrait, qu’il avait trouvé en moi une maîtresse capable de le pousser au-delà de ses limites.
« Maintenant, mon cher soumis, je vais te montrer la véritable essence de la soumission. Tu vas me donner ton corps, ton âme, et tu vas te laisser aller à mes désirs. » Je le guidait vers un territoire inconnu.
« Imagine-toi, attaché à ce lit, mais cette fois, je te couvre de chaînes. Tes mouvements sont limités, tu es à ma merci. Je vais te toucher, te caresser, et te faire découvrir des sensations que tu n’as jamais imaginées. » Mes doigts effleuraient l’air, comme si je le touchais réellement, et il frissonnait à l’idée de cette proximité.
« Je vais te faire goûter à la domination, mon cher. Tu vas sentir ma puissance, ma force, et tu vas te soumettre à mes désirs les plus intimes. » Je m’approcha de lui, mes lèvres se rapprochant de son oreille, et chuchota : « Tu es à moi, et je vais te faire connaître l’extase. »
Les yeux fermés, il se laissa emporter par cette vision. Il sentait son corps se tendre, prêt à recevoir les caresses de sa maîtresse. Je commençais à le toucher, explorant chaque recoin de sa peau, le faisant gémir de plaisir.
« Plus, plus ! » Il suppliait, désirant plus de contact, plus de sensations… J’étais satisfaite de mon contrôle sur lui et continuais mon œuvre, le menant vers un plaisir intense et interdit.
Pour la suite, viens plutôt me voir !